Des Androïdes en jupe et culotte courte (+ Crazy Love – Fanfic YoI – 5e partie)

Salut tout le monde et bonne fête à tous les muguets !!

Déjà, toutes mes confuses pour cette news tardive. J’ai sué tout le WE dans l’espoir fou de boucler la fanfic et euuuuuh ben encore raté. Mais promis, on tient le bambou (comme disait Fang dans Maliki) !!! 

Sinon, en attendant la fin du monde ou le second tour, je sais plus trop, j’ai tendance à  confondre, moi je voulais vous causer un chtit peu jeu vidéo cette semaine. Ca faisait longtemps. 🙂

 Alors pour commencer, je n’attendais pas spécialement Nier Automata. En fait, je crois même que je ne l’attendais pas tout court. C’est vraiment quasi par hasard qu’en cherchant quoi mettre pour me tenir compagnie en bossant, j’ai lancé la première vidéo du Let’s Play d’Atomium, pour me prendre une bonne droite que je n’avais pas vue venir et me faire choper comme il faut par un jeu qui ne m’a pas lâchée jusqu’à sa fin.

Merci beaucoup à Atomium, tu m’avais eue sur FFXV, mais rebelote ici et ça a été une fantastique balade. 🙂

(Je veux bien le suite de Nioh, à l’occaz’ !! Hi hi hi je blague pas taper !)

Ce jeu est un OVNI (Objet Vidéoludique Non Identifié) magnifique, aussi beau à regarder qu’il est passionnant à suivre, bien écrit, émouvant, prenant, pour peu qu’on ne s’arrête pas à sa surface et qu’on aille jusqu’au bout pour découvrir tout ce qu’il a à donner.

Tout le drame étant que le moindre spoil gâcherait vraiment tout, je vais donc essayer de vous faire envie sans trop en dire. 

You-ouh, quand je serai grande je serai funambule !!

Reprenons.

Qu’est-ce que Nier Automata

Selon M.Plouf, c’est un “action RPG beat them all shoot them up plateforme en 2D et 3D mi-monde ouvert mi-couloir parsemé de questionnements existentiels sur l’essence de la nature humaine et imprégné par la volonté de déconstruire les codes du jeu vidéo moderne et de semer confusion et perte de repère chez le joueur.

Vous pouvez respirer. De rien.

Oui, Nier Automata est tout ça, un patwork de gameplays incroyable  et tout aussi incroyablement bien géré. On glisse d’un genre à l’autre sans même s’en rendre compte et tout est pensé pour coller à l’univers du jeu. Plus on avance et plus on le comprend, tout a un sens dans le jeu, mais surtout dans la logique de son monde. Le dimension “méta”, comme on dit, est juste démentielle et ce jusqu’au bout, et je parle bien de la vraie fin, celle qu’on atteint après avoir recommencé le jeu une troisième fois.

Car c’est bien ce qu’il faut pour ne pas passer à côté, recommencer le jeu au moins trois fois.

Et c’est là qu’on doit un peu causer scénar. Comme je vous l’ai dit, il est juste génial. Profond, tout en tiroirs et sous-tiroirs, tout en points de vue qui se complètent pour finir par former un tout d’une richesse incroyable. Les personnages sont bien écrits, leurs évolutions peuvent être prévisibles, mais elles sont toujours cohérentes. les dialogues sont bons et sonnent toujours justes, qu’ils soient drôles, dramatiques ou banaux. Du travail d’orfèvre. 

La première partie vous fera donc suivre l’aventure de 2B, une androïde de combat lancée comme tous les siens dans une guerre millénaire pour reconquérir la Terre occupée par des machines. Ces dernières ont chassés les humains qui vivent désormais sur la lune, attendant que leur armée d’androïdes ne leur rendent leur monde.

2B est accompagnée dans sa tache par 9S, un androïde à l’allure et au caractère d’adolescent qui s’attache rapidement à elle malgré sa froideur. J’avoue avoir adoré ce personnage de a à z et argh non là chut. Mais bon sang, … Disons juste qu’il m’a juste vraiment émue et que j’ai été avec lui jusqu’au bout.

Lancés sur terre et accomplissant donc leur mission, nos deux androïdes font des découvertes, se rendent compte que ces fameuses machines ne sont pas toutes des ennemis, que peut-être, rien n’est simple, jusqu’à croiser la route de A2, une autre androïde de combat, déserteuse, qui pourrait en savoir plus…

Et je vais m’arrêter là car le reste vaut vraiment d’être découvert.

La seconde partie vous fera revivre cette histoire du point de vue de 9S. Changement de perspective déjà très intéressant. Et je ne dirais rien de la 3e, à part wahou. *_*. Foncez.

En résumé, une balade magnifique avec des persos qu’on a envie d’accompagner, dans des décors superbes, accompagnées d’une BO… Ah oui mince, j’en oublie la BO. Juste sublime. Assez proche d’un Kenji Kawai, d’ailleurs j’ai cru que c’était lui un moment. C’est entrainant quand il faut, émouvant quand il faut, contemplatif quand il faut, du grand art.

Bon résumé de Nier Automata : du grand art. Sur la forme comme sur le fond, un déclaration d’amour au jeu vidéo sous toutes ses formes, un hommage à lui, une œuvre complète à ne surtout pas louper. 

Voilà pour cette semaine… Je vous laisse avec Yuuri et Viktor alors que l’orage approche.

Bonne semaine à tous 🙂 !!

(2 commentaires)

  1. Je vais jeter un oeil, car tu m’avais fait découvrir les 2 lets’play de Frigiel qui était magnifique.

    toujours pas de fin !!!? snif et super à la fois

    1. @Pouika : Fais-toi plaiz’ ! Perso j’ai adoré. 🙂
      Et non, toujours pas la fin mais je progresse ! J’en vois le bout ! Là-bas loin au fond du tunnel… ^^’ M’enfin bon, plus c’est long plus c’est bon y parait ! 😉

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