Popopom… (Mont Blanc et Unit One)

Salut les gens !

Alors j’ai pas trop grand chose à vous raconter cette semaine… Donc, je vais vous parler du Mont-Blanc et d’une série policière danoise de 2000.

Je suis partie prendre l’air à la montagne en début de semaine, avec ma sœur et ma nièce, chez mon parrain, qui a un petit chalet cossu pas loin du Mont Blanc. Lequel est encore un peu blanc en haut, effectivement, malgré nos efforts pour réchauffer le climat. Bravo donc à lui.

Là, le blanc tout en haut, ‘voyez ?

Alors, la montagne, ça vous gagne (et je m’excuse du coup de vieux que ce slogan va faire prendre à certains d’entre vous), et personnellement, ça vous crame… Aïe. J’avais eu un aperçu, mais je confirme que mon traitement actuel rend photosensible, l’été va être long pour moi… ^^’

J’aime beaucoup la montagne, que je préfère en été pour m’y balader (même si je ne peux pas (pas encore, j’espère) en profiter autant que je le voudrais), exactement comme j’aime la mer en hiver. C’est plus calme. J’aime bien quand c’est plus calme.

La montagne, c’est calme, beau, ça nous renvoie à notre échelle et ça a un côté totalement irréel dans ses proportions, à mon sens. On “sait” que les montagnes, c’est haut. Mais c’est pas pour ça qu’on arrive à le “concevoir”. Pour en revenir au Mont-Blanc, par exemple : 4809 mètres, me dit Wiki (j’avais retenu 4807, il a pris 2 mètres depuis mon primaire ou quoi ?), est-ce que vous, vous parvenez à réaliser ? On parle d’un truc de près de 5 km de haut. Ça fait grand… Et perso, je ne m’en rends juste pas vraiment compte quand je le regarde…

Bref. La montagne, c’est cool. 🙂

Ça, c’était pour la partie “3615mytrepidantelife”.

Sinon, dans la série “trucs improbables impossibles à trouver en version regardable même sur le net”, je voudrais Rejseholdet. Ouais, désolée, l’article wiki est en anglais, que voulez-vous.

Vous allez me dire, qu’est-ce que tu vas t’intéresser à une vieille série policière danoise du début des années 2000, Ninou, sérieux, t’as que ça à foutre ?

Alors, déjà, oui, j’admets, j’ai du temps à perdre, quant à la première question, les gens vraiment attentifs à ce que je raconte ici ont dû tilter sur un détail : danoise.

La réponse est tout à droite sur la photo. ^^ Cette série comporte dans son casting un beau Mads Mikkelsen de 35 ans qui commençait alors à avoir un peu de bouteille et quelques rôles significatifs à son actif. On est avant le début de sa carrière américaine, qui débutera en 2004 avec le très-pas-bon-mais-fun-si-on-le-regarde-au-second-degré-et/ou-bourré Roi Arthur, où il rencontrera d’ailleurs son futur comparse d’Hannibal.

Rejseholdet, ou Unit One à l’international, est donc une série policière danoise produite entre 2000 et 2004.

J’ai réussi à choper les DVD de la première saison en VOSTA. J’en suis à la moitié et ben c’est tout à fait correct, les enquêtes “classiques” d’une équipe d’enquêteurs “classiques” (inspirées de faits réels, cela dit, ce qui nous vaut à chaque fin d’épisode un petit message sur le verdict des procès). Entendez que c’est très bien foutu, bien réalisé, très bien joué, tout le casting est bon, mais si je dis classique, c’est bien que les archétypes sont là. Car ça, dans les séries policières, ça marche souvent très bien !

Nous avons donc ici :

1/ la cheffe d’équipe (femme forte qui doit s’imposer dans un univers viriliste et a bien sûr des soucis avec son fils paskeu elle est jamais là),

2/ le vieux sympa qui lui sert de bras droit (problèmes conjugaux en vue, il bosse trop aussi), pro, débonnaire, rodé,

3/ la jolie petite blonde qui bosse trop aussi et n’arrive donc pas à se trouver un chéri,

4/ le cérébral un peu chelou, qui a un nom français, lol,

5/ le gros bras qui a l’air sanguin et nerveux comme ça, mais qui cache en vrai un petit cœur qui bat sous son holster et un flegme parfois très drôle (Mikkelsen, mais visiblement, il bosse trop et ne rentre pas assez chez lui non plus).

Fine équipe à laquelle il faut ajouter leur chauffeur, un ancien joueur de foot plutôt cool, qui essaye de les aider en douce, et leur supérieur, un vieux briscard qui n’aime pas beaucoup la cheffe et qui la houspille donc avec une régularité de coucou suisse.

Cou-cou, cou-cou !!!
Image by Regina Basaran from Pixabay

Je n’ai aucun doute sur le fait que les policiers bossent trop et ont de ce fait très probablement une vie personnelle et familiale complexe. Je suis donc sûre que ce “cliché” de séries policières n’en est pas vraiment un. Mais c’est vrai aussi que c’est toujours un peu pénible de le voir à toutes les sauces…

Ce côté “vie perso” n’est donc pas le plus intéressant. Certes, connaître cet aspect peut permettre d’avoir plus d’empathie pour les persos, mais c’est tellement revu que justement, ça n’arrive plus à me toucher comme ça devrait. ^^’

Par opposition, les enquêtes sont prenantes, le suspens est bien là et les protagonistes sont tous, déjà très bien joués comme je le disais, mais surtout profondément humains, dans ce que ça a de beau ou de très moche.

Si j’avais surnommé, pour la blague, cette série “Les Experts Copenhague” avec une amie, on est très loin de cette ambiance spectaculaire des séries américaines. Là, le rythme est plus posé, l’ambiance plus feutrée. On prend le temps de se poser, de nous montrer les lieux (le principe étant que nous avons affaire à une équipe mobile), les gens, ce qui est plutôt agréable. J’aime bien les œuvres qui posent leur ambiance. 🙂

Bref, je vais m’en tenir là parce que j’en ai encore fait un pavé. En résumé : une curiosité à voir si vous en avez l’occasion. 🙂

Sur ce, je vous souhaite une agréable semaine et je vous dis à la semaine prochaine pour la suite du Petit Papillon, merci beaucoup de vos retours sur le chapitre 19 !!

Bonne semaine à tous !

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