Pendant ce temps chez les Vikings… [Valheim]

Salut tout le monde ! 🙂

Alors je sais, je radote, mais HYDRATEZ-VOUS !!…

Bon, aucun commentaire sur ce qui se passe en ce moment… Pas que je n’en pense rien, mais comme je l’ai déjà dit, j’essaye au maximum de laisser ce site en dehors de la vraie vie pour en faire une ‘tite bubulle cool pour notre bien-être collectif. J’espère que vous appréciez.

Comme je n’avais absolument aucune idée de quoi vous raconter cette semaine, pour changer, j’ai, avec l’accord de mes coupains de jeu, décidé de vous causer un peu de Valheim. ^^

Petit jeu sorti en 2021 sur PC, 2023 sur les consoles X-Box, développé par Iron Gate AB, Valheim est un sympathique petite jeu d’explo-survie en monde ouvert, auquel on peut jouer seul, mais c’est plus fun en coop avec les copains.

Merci infiniment aux miens pour nos heures de balades et aussi de m’avoir autorisée à partager les captures de notre partie. ^^ Pour info, concernant entre autres les constructions, ces captures ont été prises à environs 300 jours in-game, plus de 110 heures de jeu.

Le scénar est très basique et la comparaison avec Minecraft, faite souvent, est facile : nous incarnons là des guerriers vikings défuntés qu’Odin a envoyés dans un espèce de Purgatoire nordique où ils doivent survivre et buter quelques grosses bestioles fâchées avec le vieux dieu borgne pour gagner le Valhalla. Et là où la comparaison avec le jeu de cubes géant se tient, c’est qu’on passe quand même vachement plus de temps à crafter, chasser, explorer, se construire des maisons douillettes, qu’à vraiment chercher et butter les grosses bestioles ennemies d’Odin dont on parlait.

On débarque donc littéralement à poil sur une terre inconnue et démerde-toi pour faire du feu et te trouver à manger, te construire un abri de fortune etc… Jusqu’à avoir des armes finement ciselées et des petits palais cossus, au bout d’un certain nombre d’heures, voire d’un nombre d’heures de jeu certain.

Visuellement, le jeu n’est pas une claque. Point de full HD 4K 120FPS ici, on est à des lieux d’un Final Fantasy XVI (dont on reparlera), mais ce n’est, encore une fois, pas le but. Le monde est joli comme il est et, surtout, il est fonctionnel, prévu pour tourner correctement sur des ordis normaux, dirais-je, et en ligne sans lag, même sur des petites connexions. De temps en temps, on se fige quelques secondes ou on voit un collègue se téléporter de quelques mètres… Rien qui gâche le jeu.

Valheim est très loin d’être le jeu du siècle et, sincèrement, c’est typiquement le genre de jeu qui ne m’intéresserait pas du tout en solo. Car, à l’exception notable des jeux de puzzle, j’aime d’un jeu vidéo ce que j’aime de tous les médias : qu’ils m’embarquent  pour me raconter une histoire sympa. Or, celle-ci est bien trop light pour retenir mon attention.

Par contre, se balader dans ce drôle de monde avec trois potes pour dégommer du moob à grands coups de lance ou cueillir des framboises pour faire des confitures, ça, ça me botte bien. ^^

C’est rigolo, dépaysant et on ne rage pas trop. Juste ce qu’il faut, moyenne raisonnable. ^^” Une pensée émue aux moustiques des plaines qui rappellent un très vieux sketch de Patrick Timsit : “Là-bas, les moustiques, ils te piquent pas : ils t’empalent.”

Ceux qui savent comprendront !

En terme de gameplay, on est aussi sur du basique-mais-efficace : exploration, craft, fabrication de bon matos, pour explorer plus loin, avoir des meilleurs matériaux pour crafter du meilleur matos, etc. C’est simple, ça marche, et les possibilités deviennent vite quand même très sympas, aussi bien sur le panel d’armes disponibles que sur les à-côtés : aménagement de l’habitation, cuisine, et tout et tout. On ne s’ennuie pas.

Voilà, pas grand chose de plus à dire.

Valheim est un petit jeu honnête pour ce qu’il offre. Il fait peu, mais il le fait bien. Ça n’est pas une grande aventure trépidante et pleine de twists, une claque visuelle, avec un gameplay novateur et exceptionnel. Vous n’en reviendrez pas avec des étoiles plein les yeux, ni le cerveau retourné par un concept dingue ou une patte graphique folle. Mais vous aurez fait une petite balade sympa dans un entre-mondes un peu étrange, plein de créatures curieuses, souvent très agressives, et passé de bons moments avec des amis, à contempler une gigantesque branche d’Yggdrasil scintillante  traversant le ciel nocturne et étoilé. Entre deux massacres de gobelins.

Et que demander de plus, un jour d’été, quand on sue devant un ventilo en attendant l’orage ? 🙂

Allez, je vous laisse là-dessus et je vais me préparer psychologiquement à attaquer ma semaine.

Je vous la souhaite aussi fraîche que possible. A très vite pour la suite de Sur les traces d’une louve blanche !

 

Bonne semaine tout le monde ! 🙂

 

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