Salut tout le monde !
J’espère que vous allez bien, après cette semaine compliquée pour beaucoup de gens. Ici, on a vu la pluie tomber sans qu’il y ait trop plus de dommages que ça, ce qui n’a pas été le cas partout. Alors, bon courage à toutes les personnes qui ont souffert/souffrent des intempéries et des inondations.
Soutien personnel aux habitants de la vallée du Gier.
Bon allez, on va parler de choses plus sympas pour se remonter le moral !
Je vous confirme ma présence le vendredi 25 octobre au Cultura St-Priest/Porte des Alpes, de 10 h à 14 h !
Dans le cadre du salon Handi-Inclusif de Vernaison qui aura lieu le 24 novembre, un partenariat avec Cultura nous permet de venir nous poser chez eux quelques heures pour nous faire découvrir à leur public.
J’avoue que ça va être une grande première pour moi.
Du coup, si vous passez par là, ben passez donc me faire coucou, ça sera avec plaisir !
Voilà, cette annonce faite, passons au sujet du jour.
Ça faisait un moment qu’UGC ne nous avait pas gratifiés de leurs petites rediffusions familiales du dimanche matin. Là, ils ont repris et j’en ai donc profité ce matin pour aller enfin voir Dragons, un film d’animation qui manquait à ma collection.
Oui, oui, je sais, j’ai des lacunes. Je rattrape tout ça tranquille… Par exemple, quand ça repasse.
Je savais que la trilogie Dragons avait une excellente réputation, mais, ayant été très déçue par Kung Fu Panda, on en avait causé, j’avoue que j’espérais vraiment ne pas avoir le même souci ce matin…
Ça n’a pas été le cas. Ouf.
À part des envies d’infanticides concernant les deux petits brailleurs qui se trouvaient sur la rangée devant moi, et dont je ne sais toujours pas si je dois plaindre ou admirer l’accompagnatrice, ça a plutôt été une bonne séance. ^^
Dragons est donc un film d’animation de 2010 des studios DreamWorks, co-réalisé par Chris Sanders et Dean DeBlois. Pas tout à fait des débutants ni des inconnus, ces deux-là, si on considère qu’ils ont commencé à sévir chez Disney avec un certain Lilo & Stitch, après divers travaux au sein du même studio.
Bon, j’imagine sans mal que la plupart d’entre vous connaissent déjà ce film, et même sûrement ses deux suites, mais au cas où, je vais me fendre d’un pitit synopsis.
Quelque part dans les mers du nord se trouve une île, où vivent des Vikings qui ont un petit souci : ils doivent faire face à d’incessantes attaques de dragons divers et variés, qui brûlent tout et volent leur bétail.
Menés par leur chef Stoïk, les humains sont donc entraînés dès qu’ils en ont l’âge pour devenir des tueurs de dragons et soutenir leurs parents pendant les attaques. Sauf Harold, le fils de Stoïk qui, trop frêle, s’est vu relégué apprenti forgeron. Désireux d’aider et de s’intégrer, le garçon, plutôt futé, invente une espèce de canon et parvient à toucher un dragon si rapide qu’on ne l’a jamais vraiment vu. Mais personne ne le croit. Pourtant, Harold retrouve bien l’animal, blessé, mais est incapable de le tuer. Alors que son père part en expédition pour trouver le nid des dragons, décidé à le détruire pour se débarrasser d’eux, Harold doit suivre l’entraînement des jeunes guerriers, bien malgré lui, car il a commencé à apprivoiser son dragon, baptisé Krokmou, de son côté…
DreamWorks a malheureusement largement prouvé qu’ils étaient capables du pire comme du meilleur, je croisais donc les doigts. Mais pour rien, donc, la bonne réputation de ce film n’est pas usurpée.
Le chara design de DreamWorks est particulier et se démarque vraiment, ce qui n’est pas nouveau, et ne l’était déjà pas à l’époque. Le studio n’en était pas à son coup d’essai, ni en animation, ses premiers films datant de 1998, ni même en animation 3D, puisqu’il pouvait déjà s’enorgueillir du succès des trois premiers Shrek, entre autres, en 2010. Le film n’a pas tant vieilli sur ses aspects techniques. S’il accuse son âge, le rendu des textures reste très propre et l’animation également. Les scènes de vol, en particulier, restent superbes et le souci du détail, surtout sur les dragons, et parmi eux bien sûr, sur Krokmou, reste très impressionnant. Le boulot qui a été abattu pour créer la diversité de design et de comportements, de mimiques, etc., de tous les dragons du film reste encore aujourd’hui à saluer.
Et comme je le disais, parmi eux, Krokmou reste un cas d’école de bestiole fantastique aussi bien pensée que bien mise en scène. Tour à tour impressionnante, mignonne, rigolote ou attendrissante, la bébête a bénéficié d’un soin qui ne fait aucun doute et qui la rend diablement attachante.
TitAnge, tu es prévenue, la prochaine peluche, je me la garde ! ^^
Point VF : rien à dire, ça coule tout seul. Excellent casting très bien dirigé.
Point musique : John Powell offre une bande originale vraiment sympathique et entraînante, qui colle très bien aux diverses ambiances du film.
D’un point de vue purement narratif, enfin, je vais me permettre deux remarques. Dans sa globalité, l’histoire est souvent classique et prévisible, et à ce titre, les personnages sont tout aussi souvent un peu archétypaux : Harold est le petit gringalet qui doit se servir de sa cervelle dans un monde où on se sert plutôt de ses muscles, son père le grand guerrier qui doit accepter que son fils trace une autre voie que la sienne, pour ne parler que d’eux.
J’ai donc trouvé assez rafraîchissant que la bande d’ados qui s’entraînent avec Harold ne soit pas l’habituelle bande de harceleurs menés par un leader violent, débile et ennemi juré du héros. Le fait que ce soit une fille la plus douée, qu’elle soit intelligente, comprenne vite la situation et soutienne sans hésitation Harold, rien que ça, ça fait du bien. Je dois déjà vous l’avoir dit, mais j’aime les personnages intelligents. Or, dans ce genre de récit, le cliché de l’ami qui va cafter ou prend la mouche sans chercher à comprendre est un peu trop banal, hélas. Ici, nous avons donc une petite bande plutôt rigolote, aux personnalités bien marquées, et si, au départ, elle charrie Harold, ce n’est jamais vraiment méchant et on voit les liens évoluer dans le bon sens, ce qui est aussi bienvenu.
Dans le même ordre d’idée, j’ai beaucoup aimé le personnage de Gueulfor, le vieux forgeron, ancien guerrier mutilé qui entraîne désormais les plus jeunes, figure bienveillante, et surtout la relation entre ce dernier et Stoïk, une amitié forte et sincère, également très bien menée et assez touchante.
Voilà voilà.
En conclusion (mais je pense vraiment que la plupart d’entre vous le saviez déjà), un très bon film, qui a bien vieilli techniquement, reste très chouette visuellement et bénéficie même d’une écriture plutôt plus finaude que ce à quoi on pourrait s’attendre. À (re) voir donc, si ça vous intéresse !
Et je m’en vais profiter de mon dimanche soir et vous dis à très vite, vendredi pour qui passera au Cultura de Porte des Alpes et le WE prochain sinon, pour la suite du Petit Papillon.
Prenez soin de vous et bonne semaine !
À bientôt tout le monde !
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Merci !
Coucou ! ahhhhh enfin tu as vu ma petite merveille XD
La suite je te la recommande également :p
Quant à la peluche XD comment te dire : nope juste nope XD je ne partage pas Kroqmou nameo XD
Merci en tout cas pour se partage !
Desbizoux !
@TitAnge : Oui, pas trop tôt ! ^^ Merci les rediffs UGC ! 😉
M’en fous j’en trouverais une pour moi na ! ^^