Aujourd’hui samedi 9 novembre 2013…
Si vous me connaissiez, vous sauriez que ma patience peut être proverbiale. Si, si. La preuve, je n’ai jamais assassiné aucun client dans aucun des commerces où j’ai bossé. Si ça c’est pas une preuve, je sais pas ce qu’il vous faut.
Cependant, là, c’est mon propre site qui a mis mes nerfs à rude épreuve, bon, ‘faut dire qu’après une nuit de moins de 6h entre 6h et midi moins le 1/4, j’ai pitètre des circonstances exténuantes,euh pardon, atténuantes.
Toujours est-il que ça faisait deux-trois semaines que la page du Môme d’Alger buggait grave et que j’en ch**** pour la mettre à jour, et qu’aujourd’hui, ben vraiment, rien à faire. Même plus moyen de modifier son titre… Ni RIEN dedans. Ai-je atteint la longueur maximale autorisée ? Cette page est-elle devenue caractérielle ou opposée à toute évolution, ce qui ferait d’elle une dangereuse réactionnaire fermée à la notion de progrès et de développement ? Bé j’en sais rien. Mais bon, je dois dire qu’après 3/4h ou surement presque de copier-coller qui ne collaient pas, j’ai décidé de créer une deuxième page. J’avais l’intention de le faire pour la seconde partie de l’histoire, ben vous aurez la fin de la première avec. Na.
C’est donc ici qu’il faudra désormais aller voir votre pitit chapitre hebdomadaire, le chapitre 64 du Môme d’Alger pour aujourd’hui.
Vala vala.
Si je trouve une solution, je remettrai tout ça dans l’ordre, parce que bon, pas que je sois maniaque, mais là quand même c’est du coup un peu n’imp.
Sinon, ça va. ^^
Petite YaoiYuriCon sympatoche dimanche dernier, j’ai dépensé plein de sous, oups, faut pas le dire.
Bon allez je vous laisse… J’ai une vraie vie ce WE désolée ^^ !