Aujourd’hui dimanche 27 octobre 2013…
Un orage intempestif et pas très discret m’ayant coupé ma nuit, ‘suis pas très fraîche, désolée…
Et en plus j’ai faim…
J’ai encore pas grand chose à vous raconter cette semaine, désolée… Bon, je vous dirais bien que j’ai été me faire détartrer, mais je pense que vous vous en foutez ^^ ! Les projets avancent tranquillement, pas assez vite à mon goût, mais bon, je fais le maximum…
Bon, histoire de ne pas faire une news de 10 lignes sans intérêt, je vais me fendre d’un petit compte-rendu de la saison 1 de Sherlock (attention, l’article de Wikipédia contient des spoilers), que j’ai enfin pris le temps de regarder (merci Luzca de m’en avoir reparlé !).
Déjà, j’aime beaucoup les séries anglaises que je préfère généralement de loin à leurs cousines américaines. Question d’ambiance sans doute. Il y a certes d’excellentes séries américaines, je ne le nierai pas, mais le charme britannique a, à mon goût, un attrait particulier. Parlant en plus de l’adaptation d’une œuvre anglaise à la base, enfin écossaise pour être exacte, mais vu d’ici, peu de gens feraient la nuance, je pense qu’un gars du cru ne pouvait que mieux cerner le travail de Conan Doyle pour le transposer à notre époque sans fausse note. Ce n’est d’ailleurs pitètre pas un hasard que la série soit si bien maîtrisée si on considère qu’un de ses créateurs, Stephen Moffat, est lui aussi écossais…
Mais passons !
Nous avons donc affaire à une transposition des aventures de Sherlock Holmes à notre époque. Et c’est réellement bluffant. Je n’ai pas lu tout Conan Doyle, mais j’ai quelques bases. Et ça me fait sourire de voir avec quelle intelligence tout ceci est rendu : Watson n’est plus un médecin militaire blessé aux Indes, mais en Afghanistan, Holmes n’est plus cocaïnomane, il se colle des patch de nicotine plein le bras, Watson n’écrit plus des articles, il tient un blog… Tout y passe et tout passe. Le jeu des acteurs est excellent, Benedict Cumberbatch campe un Sherlock tout en sociopathie et en génie, merveilleusement ambigüe, Martin Freeman un Watson est aussi surprenant que crédible et humain, leur relation est juste assez slash pour faire sourire et perso, voir le pauvre docteur passer son temps à expliquer qu’ils ne sont pas ensemble est vraiment marrant ! 😉
Bref, à voir, pour ceux qui bien sûr, ont autant tardé que moi. J’imagine que les autres se sont déjà jetés de longue date sur la saison 2 et attendent la 3 en trépignant. Moi, je vais me faire la 2 et j’avoue que je suis très impatiente de voir ce qu’ils ont fait du Chien de Baskerville !
Bon, maintenant, le moment que vous attendez tous : cette semaine, encore 2 chapitres du Môme d’Alger. Ben ouais, le 61 était encore super court, quoi… Vous m’en voulez pas j’espère ? :p