Pendant ce temps, dans les Alpes… (Minuscules, La Vallée des fourmis perdues)

Salut tout le monde ! 🙂

ANNONCE IMPORTANTE à tous les fans de Terry Pratchett : le film d’animation Maurice le chat fabuleux est une adaptation du Disque-Monde ! Et j’ai eu de très bons retours dessus (moi pas encore eu le temps d’y aller), donc, vu l’absence de comm’ sur ce film et surtout qu’elle ne mentionne pas ce “détail” (c’est vrai que ça serait dommage que tous les fans de Pratchett français aillent le voir), faites tourner l’info et foncez si vous aimez, merci !!

J’espère que vous allez bien. Moi ça va, j’ai passé un bon WE, hier à Yggdrasil avec mes amis Asha et Mad et leur amie Annaelle, qui ont campé chez moi. Biz à vous trois, en espérant que votre dimanche se soit bien passé ! 🙂

Moi, j’ai assez donné hier à arpenter des allées bizarres peuplées aussi bien d’aliens que d’orcs et entre un stand de taille de pierre et de fabrication de cordes selon les méthodes du XIVe siècle (ce que ne pouvait que kiffer la médiéviste que je suis) et un module d’alunissage… Du coup, aujourd’hui, alors que nos trois valeureux combattants repartaient au front pour tenir le stand, moi, ben je me suis motivée ce matin pour continuer mes rattrapages cinématographiques, et donc prendre ma canne et ma chapka pour traverser mon parc préféré jusqu’à mon ciné pour voir Minuscules, La Vallée des fourmis perdue.

Oui, oui, celui de 2014, pas le second de 2019.

Il était, comme beaucoup (trop) d’autres, dans ma pile de DVD à regarder, donc, ça tombait bien. 🙂

Donc, nous avons là un film assez clairement pour enfants, qui nous narre la légende de la petite coccinelle qui a lutté contre les méchantes fourmis rouges et que racontent les cigales et les grillons.

Non, pour ceux qui n’ont pas vu le film, ce n’est pas une blague, c’est vraiment le texte d’introduction.

Je n’y peux rien si vous ne parlez pas cigale, moi, hein.

Plus concrètement, un couple pique-niquant sagement dans les Alpes doit partir un peu précipitamment, car Madame attend un heureux évènement qui, apparemment, est en avance sur le planning. Abandonnant donc tout ce qui n’est pas essentiel, nos bipèdes filent et c’est rapidement la fêtes chez tous les insectes de la forêt qui viennent chercher tout ce qui reste.

Là, une petite coccinelle (qui se révèlera d’ailleurs être un petit coccineau, mais passons), tout jeune et qui a été séparée de sa famille par une bande de mouches-racailles (qui font des bruits de motos, pas subtil, mais très drôle) et qui s’était cachée dans la boite de sucre à cause d’un orage, rencontre une petite troupe de fourmis en maraude qui l’adoptent rapidement et la laissent rentrer avec elles à leur fourmilière. Mais une bande de fourmis rouges méchantes (la preuve, bon déjà, elles sont rouges, mais aussi, elles ont des petits yeux sournois, des grosses mandibules et elles font grr grr) les poursuit parce que le sucre, ben c’est bon.

Les gentilles fourmis parviendront-elles à s’en sortir ? La coccinelle retrouvera-t-elle sa famille ? La boite de sucre survivra-t-elle à tout ce voyage, parce que quand même, quelle idée de s’éloigner autant de sa fourmilière ? Quelle idée d’emmener une boite de sucre aussi grosse à un pique-nique de deux personnes ?… Autant de questions qui trouveront réponse dans le film, enfin non, pas la dernière, mais j’avoue que ça m’a fait sourire.

Ce film est très bien fait, déjà. L’incrustation des insectes en 3D sur les décors réels est vraiment bluffante, surtout pour une oeuvre datant de 2014. Je me suis vraiment demandé plusieurs fois s’il ce n’était pas de la stop-motion ou au moins un mélange, tant c’est un sans-faute. C’est très impressionnant.

L’histoire est certes simple et cousue de fils blancs, mais c’est joli, poétique, avec d’excellente trouvailles (l’araignée et sa boite à musique, je ne l’avais pas vue venir), de vraies moments d’action très bien mis en scène et plusieurs courses poursuites étonnamment prenantes. La musique d’Hervé Lavandier est magnifique, elle accompagne le récit avec une justesse vraiment épatante. Et Dieu sait que c’est important dans un film sans dialogues !

Cette petite histoire est mignonne, drôle et touchante. Sa forme la rend accessible et assez universelle, du coup, car pas besoin de beaucoup  de références pour en comprendre les enjeux. C’est un cas d’école de récit narratif purement visuel et auditif, qui n’appelle pas à de grands discours, mais fait juste du bien à voir.

Bref, un petit moment sympathique qui donne envie d’aller se balader dans les Alpes. 🙂

Je ne vais pas plus m’étendre, je vous souhaite une excellente semaine et vous dis au WE prochain pour la suite du Petit Papillon !

 

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